Seuil et goulet naturel au fond des marais de l'Ouve, le site de Saint-Sauveur-le-Vicomte était propice à l'établissement d'un point de franchissement et d'un port fluvial. Sous la protection d'un puissant château-fort, le passage à gué primitif fit tôt place à une longue chaussée, dotée de plusieurs ponts de pierre et de bois. Plusieurs moulins prenaient appuis sur cet ouvrage, auquel étaient également associé des pêcheries, un hôtel-Dieu et une porte fortifiée. A la différence de Valognes et Bricquebec, Saint-Sauveur était en effet une ville close, abritée par des remparts et des palissades, et défendue par trois corps d'entrée équipés de pont-levis. Le guide conférencier s'attachera à restituer l'histoire de ces différents ouvrages médiévaux, et proposera d'en lire l'empreinte dans la topographie de la ville actuelle.
Le rendez-vous est fixé à 15h, dans la cour du Château, devant l’Office de Tourisme. Cette visite guidée sera animée par M. Benoit CANU, historien, guide conférencier du Pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin.
Tarifs :
Adultes = 4 €
Etudiants = 2 € (étudiants & chômeurs)
Gratuit moins de 18 ans.
Jeudi 11 avril prochain, le Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin propose une conférence richement illustrée intitulée « Les Dames d’Estouteville et le Cotentin de la Renaissance ».
Entrée au XVe siècle en possession de la famille d’Estouteville, l’antique baronnie de Bricquebec devint à la Renaissance le lieu de résidence privilégié de l’une des familles parmi les plus influentes du royaume de France. Le destin de Jean d’Estouteville, qui fut élevé à la cour de Moulins, participa aux guerres d’Italie et séjourna fréquemment dans les châteaux de la Loire, marque le début de cette apogée culturelle. Mais l’histoire de Bricquebec fut surtout marquée par l’activité de son épouse, Jacqueline, première dame de compagnie de Catherine de Médicis, puis par sa fille Adrienne et sa petite fille Marie de Bourbon, qui continuèrent de résider fréquemment dans leur demeure Cotentine, y menant un train de vie exceptionnel tout en administrant avec compétence les immenses possessions familiales. La faveur des Dames d’Estouteville suffisait en ce temps à faire la fortune de certaines familles de la noblesse locale ; l’exemple de Jean de Ravalet, secrétaire particulier d’Adrienne d’Estouteville, puis abbé de Hambye et bâtisseur du château de Tourlaville en offre l’exemple le plus notable. L’architecture des plus belles demeures de ce temps exprime de fait, avec éclat, la puissante influence de ces grandes figures de la Cour de France.
Cette conférence se tiendra à l’Hôtel-Dieu de Valognes et débutera à 18h30.
Les tarifs sont de 4 € pour les adultes, 1,50 € pour les étudiants. Gratuit pour les moins de 18 ans, les personnes sans emploi (intervenant : J. Deshayes).
Renseignements : Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin
Tél : 02.33.95.01.26/ Email : pah.clos.cotentin@wanadoo.fr
La conférence intitulée « Le château de Valognes dans l’éclairage des recherches archéologiques récentes », initialement programmée en date du dimanche 31 mars 2019 se trouvera, pour raisons médicales, reportée au mardi 9 avril prochain.
Faisant actuellement l’objet de travaux de requalification, la place du château de Valognes recouvre sous son bitume une histoire très ancienne. Au manoir des ducs de Normandie, résidence de Guillaume le Conquérant et des rois Plantagenêt, a succédé au XIVe siècle une forteresse navarraise, construite sur l’ordre de Charles le Mauvais. Réputée pour la qualité de ses défenses, cette place fit l’objet de nombreux sièges, non seulement dans le contexte de la guerre de Cent ans mais aussi à la Renaissance (guerres de Religion et de la Ligue) puis durant les troubles de la Fronde (1649). Ardemment souhaitée par la population valognaise, sa destruction, ordonnée par Louvois, ministre de la guerre du roi Louis XIV, débuta en 1688.
Après avoir relaté l’histoire de cette ancienne forteresse, le conférencier s’efforcera d’en restituer l’aspect, en se fondant en particulier sur l’apport des sondages et observations archéologiques menés entre octobre 2011 et mars 2019 par l’Institut national de recherches archéologiques préventives.
(Publicité parasite indépendante de notre volonté)
Cette conférence se tiendra à l’hôtel Dieu de Valognes
et débutera à 18h30 précises.
Intervention à deux voix, en présence de Madame
Bénédicte GUILLOT, archéologue, ingénieure de recherche à l'Institut national de recherches archéologiques préventives
Tarif adultes = 4 €, étudiants = 1,50 €. Gratuit enfants et chômeurs.
Pour tous renseignements complémentaires,
Contactez le Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin au 02 33 95 01 26
Informations également disponibles sur notre blog :
BAROKENTIN - La musique baroque s’installe DEFINITIVEMENT dans notre région !
Suite au succès de ses premiers concerts de septembre dernier, l’ensemble baroque du Cotentin, BaroKentin, fondé par David le Monnier, ancien membre des Arts Florissants, est heureux de présenter son nouveau programme de printemps 2019, où il continue à explorer des chefs-d’œuvre de la musique baroque.
Ces deux concerts sont le fruit d'un partenariat avec le Pays d’Art et d’Histoire du Clos du Cotentin, dont l'animateur s'est trouvé très enthousiaste, suite à notre dernière prestation musicale, et souhaitait que nous renouvelions notre collaborions.
Pour les lieux des deux concerts, David Le Monnier a souhaité renouveler sa confiance à l’église d’Alleaume. « Je trouve important d’établir un lien permanent avec un lieu. L’église d’Alleaume remplit amplement sa mission, avec la beauté du lieu et une acoustique parfaite pour nous ». C’est à la demande du Pays d'Art et d'Histoire que BaroKentin va donner son deuxième concert en la belle église de Golleville, au coeur du Clos du Cotentin, où vous nous trouverons pour écrin un splendide retable du XVIIe siècle.
Parmi les magnifiques pages musicales que vous allez découvrir de cette nouvelle saison printanière, citons les brillantes sonates en trio de HAENDEL et de GOLDBERG (oui, celui des fameuses variations de BACH) ! « GOLDBERG était l’élève le plus talentueux de BACH, mourant tragiquement à l’âge de 29 ans, et cette oeuvre était pendant longtemps considérée, à juste titre, comme celle du grand Maître » nous confie David Le Monnier.
(publicité parasite indépendante de notre volonté, nous n'encourageons personne à acheter de voiture !)
Mais la musique anglaise et française ne sont pas oubliées non plus, avec une majestueuse sonate en trio d’Henry PURCELL, ainsi qu’une élégante Chaconne, de Marin MARAIS.
David Le Monnier a également décidé cette fois de mettre à l’honneur le violoncelle, joué par Jet Planken, avec une charmante sonate de Nicolas PORPORA, ainsi qu’un sublime Adagio d’un des fils de BACH, Carl Philip Emmanuel, adapté d’un concerto.
Elise Bray, figure incontestée de la musique classique du Cotentin (professeure à l’Ecole de Musique de Valognes et dirigeant également, entre autres, l’Harmonie de Cherbourg), va interpréter une magnifique sonate pour violon de J. S. BACH.
Finalement l’ensemble est heureux d’intégrer un nouveau membre dans l’ensemble, Ivanne Peguet. Ivanne, native de la Bretagne et actuellement professeure de musique au collège de Valognes, est non seulement une violoniste de talent, mais également chanteuse. « Je suis absolument ravi » nous confirme David Le Monnier « qu’Ivanne ait décidé d’adhérer à notre projet, en tant que violoniste, et sa voix chantée me pousse également à imaginer des collaborations vocales avec elle dans le futur » !
Bref, que de beaux projets qui s’annoncent …
Rendez-vous le samedi 30 mars 2019 à 20h en l’église d’Alleaume (Valognes) et le dimanche 7 avril à 17h en l’église de Golleville.
Les deux concerts sont gratuits, avec libre participation à votre discrétion en sortant.
Ils seront précédés par une brève introduction de l’histoire et l’architecture des lieux,
par un guide conférencier du Pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin
(nota : suite à une erreur d'édition, une annonce par voie de presse faisait état d'un concert à Golleville le samedi 23 mars dernier ; bien que celle-ci ne relève pas de notre propre responsabilité, nous prions les personnes ayant fait inutilement le déplacement de bien vouloir pardonner la méprise !).
Paris, BNF, Mss. Français 5054, fol. 196 v°, Siège de Bricquebec et de Saint-Sauveur-le-Vicomte
Dans le cadre de son cycle des « Dimanches du Patrimoine », le Pays d’art et d’histoire proposera, le dimanche 17 mars prochain, une conférence intitulée "Louis d’Estouteville, et l’occupation anglaise de la Normandie (1418-1450)".
Siège de l'une des plus grandes seigneuries du Cotentin médiéval, le château de Bricquebec se trouve étroitement impliqué dans les évènements militaires de la guerre de Cent ans, qui oppose, entre 1337 et 1453, les royaumes de France et d'Angleterre. La conférence proposée dimanche prochain s'attardera sur cette période particulièrement troublée. Après avoir rappelé les origines du conflit, nous nous concentrerons davantage sur la seconde phase de cette guerre, débutée en 1415 avec la bataille d'Azincourt. Confisqué en mars 1418 par le roi Henry de Lancastre, le château de Bricquebec abrite durant trente-deux années une garnison anglaise.
Ses nouveaux seigneurs, Guillaume, Comte de Suffolk puis Bertin Entwistle, comptent parmi les grands chefs de guerre de l'armée d’Angleterre. Louis d'Estouteville, le seigneur légitime de Bricquebec auquel le château a été confisqué, prend alors la tête des vaillants défenseurs du Mont-Saint-Michel. Il saura, depuis la forteresse de l’Archange, faire payer à ses ennemis le prix de leur usurpation...
RV : salle Saint-Roch à Bricquebec, rue Saint-Roch à 15h
Tarif adultes = 4 €
Etudiants = 2 €
Gratuit enfants et personnes sans emploi.
Contact :
Pays d’art et d’histoire
pah.clos.cotentin@wanadoo.fr
Tél. : 02.33.95.01.26
http://closducotentin.over-blog.fr
(Avec de sincères excuses pour la pollution provoquée par les publicités insérées par notre hébergeur)
Le château de Saint-Sauveur-le-Vicomte peut être tenu à juste titre pour l’un des édifices les plus emblématiques de la guerre de Cent ans et de la présence anglaise en Normandie. Cette dimension ressort en premier lieu de l’identité du baron qui tenait ce château en sa possession dans le second tiers du XIVe siècle et qui en ordonna la construction. Ce Geoffroy d’Harcourt, dont « la haine coûta si grossement au royaume de France et par especial au Pays de Normandie que les traces en parurent cent ans après » (Froissart) fut bien en effet l’une des figures les plus marquantes de cette période. Armé chevalier en 1326, il participa en 1339 aux guerres de Flandres et fut à son retour impliqué dans les préparatifs d’un débarquement avorté qui devait conduire à l’invasion de l’Angleterre. Son destin marque un virage dans les années 1340 lorsque, repoussé dans ses prétentions au mariage avec une riche héritière du Bessin, il s’engage dans une guerre privée contre son rival et voisin, le maréchal Robert Bertan, seigneur de la baronnie de Bricquebec. Malgré un interdit royal, promulgué le 30 mars 1341, le conflit dégénère en une sorte de guérilla. Contraint à l’exil, Geoffroy se retire en Angleterre, où il rend hommage à Edouard III, qu’il reconnait comme son souverain légitime. Selon certaines sources, c’est sous le commandement militaire du baron normand que l’île de Guernesey, conquise quelques années auparavant par les troupes du maréchal Bertran, fut reprise au profit du trône anglais. Mais la conséquence la plus directe du soutien apporté au roi Edouard par Geoffroy d’Harcourt reste le débarquement du 12 juillet 1346, lorsque la flotte anglaise, guidée par le baron de Saint-Sauveur, se présenta en la Hougue de Saint-Vaast, telle une forêt mouvante de mats pavoisés...
La conférence aura lieu à Saint-Sauveur-le-Vicomte, salle des pompiers, jointive à l’hôtel de ville et débutera à 15h00. Les tarifs sont de 4 € pour les adultes, 1,50 € pour les étudiants. Gratuit pour les moins de 18 ans, les personnes sans emploi.
Renseignements : Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin
Tél : 02.33.95.01.26/ Email : pah.clos.cotentin@wanadoo.fr
Le jeudi 21 février prochain, le Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin propose une conférence richement illustrée consacrée à « Jeanne de France, dame de Valognes, et le Cotentin de la fin du Moyen-âge ».
En 1465, le roi Louis XI mariait l’une de ses filles naturelles, prénommée Jeanne, à Louis de Bourbon, lui-même un bâtard, issu d’une puissante famille de sang royal, qu’il souhaitait ainsi attacher à son service. Outre la seigneurie d’Usson en Auvergne et diverses places en Dauphiné, la dot constituée pour ce mariage intégrait la seigneurie de Valognes, avec son château, ses revenus et de nombreuses dépendances. Bien que Jeanne et son époux, émissaire royal puis amiral de France, n’aient résidé en Cotentin que de façon assez ponctuelle, ils jouèrent tous deux un rôle important dans l’histoire locale. Sur le plan des événements politiques on se souviendra en particulier de l’accueil qui fut donné en 1470 dans notre ville au comte de Warwick, accompagné de sa fastueuse suite et du duc de Clarence, venus y préparer le renversement du roi Anglais Edouard IV. Officier valeureux et compétent, Louis de Bourbon fut aussi le premier à préconiser le développement et la mise en défense du port de Saint-Vaast-la-Hougue, anticipant ainsi de plus de deux siècles les travaux entrepris par Vauban. A Valognes même, le Bâtard Louis a soutenu et favorisé la création du couvent des Cordeliers, la première abbaye fondée à l’intérieur de la ville, où il choisit d’être enterré après sa mort, survenue le 14 janvier 1497. Jeanne de France, ainsi que la plupart des femmes de son rang, n'entre pleinement dans l'histoire qu'en tant que veuve. Dame de cour au tempérament de feu, elle se révèle alors comme une redoutable gestionnaire, entièrement dévouée au règlement de la succession de ses héritiers. Bien qu'elle fut sans doute assez peu attachée au Cotentin, elle contribue en 1499 à la fondation de l’hôtel Dieu de Valognes, destiné à recueillir, nourrir et gouverner les pauvres personnes, pèlerins, passants et autres nécessiteux et indigents et accomplir les œuvres de miséricordes. L'une des tours du château médiéval portait son nom, et il existait aussi, avant la seconde guerre mondiale, des restes notables de sa demeure valognaise, l’hôtel "de Bourbon", grande demeure noble, uniquement connue par des représentations anciennes. Cet édifice offrait un bel exemple du développement de l’architecture gothique flamboyante, qui triomphe aussi dans le choeur de l’église Saint-Malo.
La conférence aura lieu à l’hôtel Dieu de Valognes et débutera à 18h30. Les tarifs sont de 4 € pour les adultes, 1,50 € pour les étudiants. Gratuit pour les moins de 18 ans, les personnes sans emploi ou sans ressources suffisantes. Intervenant, J. Deshayes.
Renseignements : Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin
Tél : 02.33.95.01.26/ Email : pah.clos.cotentin@wanadoo.fr
Si le règne de Guillaume le Conquérant a marqué l'histoire de l’Europe médiévale dans son ensemble, il a déterminé en Cotentin des bouleversements particulièrement profonds. Alors que ses prédécesseurs étaient jusque-là restés assez en retrait de ce « Far West armoricain », Guillaume montre jeune un intérêt particulier pour le Cotentin, et s'implique très tôt dans l'administration personnelle des territoires occidentaux de son duché. La révolte des barons, qui éclate à Valognes en 1046, et qui faillit lui être fatale, suggère qu’il existait localement une forte résistance face à l’hégémonie croissante des « comtes de Rouen ». Mais la victoire remportée sur le champ de bataille du Val-ès-Dunes contre les seigneurs rebelles donne à Guillaume les moyens d’une profonde refonte des cadres politiques et religieux de ce secteur. Avec le recul nécessaire, on peut considérer que l'encadrement qu'il met alors en place en Cotentin fut une sorte de répétition générale de ce qui sera, après 1066, sa politique de soumission de l'Angleterre conquise. D'immenses domaines, fraîchement confisqués aux insurgés, sont redistribués au profit de nouvelles familles seigneuriales, issues généralement des régions situées à l'est de la Dives. Il semble en revanche que les élites "indigènes", issues en majorité des diasporas scandinaves du Xe siècle, se soient alors trouvé reléguées au rang subalterne des simples "vavasseurs". Les moines bénédictins, évacués du diocèse de Coutances depuis deux siècles, reviennent bientôt s'établir à Lessay, puis à Saint-Sauveur-le-Vicomte et à Montebourg. Des bourgs à marché sont créés, des châteaux sont fondés, et les ports se développent. Passé 1066, l’essor des échanges maritimes avec l’Angleterre conquise apporte à cette région une prospérité sans précédent, et peut-être sans équivalent dans toute son histoire ancienne.
Cette conférence se tiendra exceptionnellement au rez-de-chaussée des locaux du Pays d’art et d’histoire, 21, rue du Grand-Moulin à Valognes, à partir de 15h00 (capacité d’accueil limitée il est préférable, pour être sur d'obtenir une place assise de réserver au préalable, tel. 02 33 95 01 26). Prévoir également des habits adaptés car cet espace est difficile à chauffer. Stationnement sur l'arrière du bâtiment. Intervenant J. Deshayes (Centre de recherches archéologiques et historiques anciennes et médiévale de l'Université de Caen).
Les tarifs sont de 4 € pour les adultes, 2 € pour les étudiants.
Gratuit pour les moins de 18 ans, les personnes sans un sou et les demandeurs d'emploi.
Pour tous renseignements complémentaires,
Contactez le Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin au 02 33 95 01 26
(en semaine)
Dans le cadre du cycle des Dimanches du Patrimoine, le Pays d’art et d’histoire propose, ce dimanche 3 février, une visite guidée consacrée à « L’ancienne église et le presbytère de Bricquebec ».
En grande partie détruite vers 1910 pour faire place à un nouvel édifice néo-gothique, l’ancienne église Notre-Dame présente les vestiges d’une construction romane de très belle qualité, qui se signale en particulier par la variété de ses chapiteaux sculptés. Situé dans le quartier dit « du village », le long de l’ancienne « carrière Bertran » (une grande route menant de Bricquebec à Brucheville, que contrôlaient les châtelains du lieu), cette église avoisine le vieux presbytère de Bricquebec, toujours en fonction, qui est une belle construction des XVe et XVIIIe siècles. Le guide conférencier restituera l’histoire de ces édifices et en détaillera la lecture architecturale.
Le rendez-vous est fixé à 15h devant l’ancienne église de Bricquebec,
Rue du Maréchal Bertran.
4 € pour les adultes, 2 € pour les étudiants.
Gratuit pour les moins de 18 ans et les personnes sans emploi.
Renseignements (en semaine) : Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin
Tél : 02.33.95.01.26/ Email : pah.clos.cotentin@wanadoo.fr